Avant 14 ans, l’âge de l’accès à la conduite du cyclomoteur, on ne constate pas de sur-représentation dans la mortalité routière.

D’une façon générale, les personnes tuées le sont dans l’usage d’un mode de déplacement lié à leur âge et à leur autonomie : plutôt passager ou piéton pour les plus jeunes, passager ou cyclomotoriste pour les adolescents et plutôt en voiture ou à deux roues motorisé pour les jeunes adultes. Pour ces derniers, les garçons sont le plus souvent conducteurs et les filles le plus souvent passagères.

La tranche d’âge des jeunes de 15 à 24 ans est très largement sur-représentée dans la mortalité routière. Cette sur-représentation est globalement constante depuis de nombreuses années et n’est pas caractéristique de la France seule.

L’accident de la circulation constitue le risque mortel le plus important pour la tranche d’âge des 15 à 24 ans.

La sur-mortalité routière masculine est encore plus forte pour les 18-24 ans que pour les autres classes d’âges.

Les éléments chiffrés présentés dans les différents documents accessibles par les liens sont extraits de données nationales, à partir des bilans annuels de l’ONISR.